Dans la ville de Brazilia, écrasé par la chaleur, Andrei (Paulo José) est le témoin nostalogique d’histoires d’amour sans retour. Inspiré par des nouvelles de la litterature Russe du 19ème siècle, l’architecture utopique de la ville de Brazilia fait écho à l’Union Soviétique…

Téhéran, juin 2009, au lendemain de l’élection présidentielle usurpée.  Le tumulte d’une ville qui tangue sous la « Vague verte » de contestation. Un appartement comme lieu de refuge. Un homme et une femme de deux générations différentes. Un téléphone portable et un ordinateur pour relayer les nouvelles de la révolte.  Une histoire d’amour qui bouleversera le cours de deux existences.

1992. Quelque part en Lituanie.

Peu de temps après la chute du communisme, Irena, gérante d’une ferme porcine modèle de l’époque soviétique fait tous ses efforts pour l’adapter au nouveau système capitaliste. L’arrivée très démonstrative de Bernardas, businessman américain à la chevelure orangée, est perçue par Irena comme la réponse à toutes ses prières. Sauveteur aux poches remplies de dollars, animé par les meilleures intentions, il dévoile progressivement des intérêts beaucoup moins nobles.

Tout oppose Félix et Meira. Lui, mène une vie sans responsabilité ni attache. Son seul souci, dilapider l’héritage familial. Elle, est une jeune femme juive hassidique, mariée et mère d’un enfant, s’ennuyant dans sa communauté. Rien ne les destinait à se rencontrer, encore moins à tomber amoureux.

Larguée par sa petite amie et se retrouvant échoué sur différents canapés chez des amis, Guido, 38 ans, tente de transformer sa dérive en une opportunité pour un nouveau départ.